Avec dans les rôles principaux :
- Pau Ocean-Stark
- Simon Starsky
Alors que Starky attendait patiemment que Pau vienne le chercher, nonchalamment appuyé contre un poteau avec la classe qui lui est propre, tout en écoutant les Newsboys. Lorsque tout à coup, un bruit étrange le tira de sa rêverie. Il retira l'un de ses écouteurs, tendit l'oreille, repéra un bruit de moteur et rit intérieurement, tout en se disant "Tiens, Pau s'est plantée", puis il repartit dans ses rêveries.
Pau, en état de choc, hurla "T'AS DU CREDIT ?!" Starsky acquiéça sans comprendre avant de remarquer l'état du pare-chc et de la roue avant gauche : complètement démolis.
Simon vit Pau sortir du véhicule, le visage défait, mais le ton ferme : "File moi ton portable, j'ai raboté le talus". Simon s'exécuta, comme toujours face aux ordres d'une telle femme, puis Pau appela son père afin de le prévenir de la situation et de lui demander conseil. Comme elle s'y attendait, elle devait changer la roue.
Armée d'un cric et des bras de Simon, Pau entreprit de résoudre son problème. Hélas, même une fois les boulons enlevés, la roue ne bougeait pas d'un millimètre. Et ce, même lorsque le père de Starsky, appellé à la rescousse vint apporter son aide. Rien n'y fit.
Alors, en désespoir de cause, Simon proposa à Pau de se rendre chez lui afin de se remettre de ses émotions, de rappeler son père dans le but d'avoir de nouvelles directives, et de se laver les mains (que même la rosée matinale n'avaient pu purifier).
Son père ne répondant pas, Pau décida de contacter le garagiste chez qui elle devait déposer le Berlingot en vue de le vidanger.
La famille Starsky aidant, ils cherchèrent le nom du garagiste en question puisque Pau ne connaissait ni son nom, ni son adresse. Quelques recherches via internet et de nombreux appels plus tard, le garagiste (dont la femme ignorait qu'il l'était) se rendit sur les lieux du drame, changea la roue (à gros coups de marteau) puis évalua les dégâts. La direction en avait pris un coup, mais il décréta que les jeunes gens pouvaient se rendre sans dommages jusqu'au garage, s'ils ne roulaient pas vite. Il les escorta, leur montrant a route à suivre.
En cours de route, Simon, qui s'était transformé pour quelques minutes en secrétaire personnel en charge du portable de Pau, reçut un premier appel de la part de la mère de Pau, qui crut tout d'abord s'adresser à Alex. Simon n'a pourtant pas l'accent du sud ! Elle s'enquit de la santé de la voiture, embrassa sa fille puis raccrocha.
Quelques secondes plus tard, le téléphone sonna à nouveau. C'était Chlow' au bout du fil et elle ne sut même pas reconnaitre Simon ! Elle s'enquit de Pau, l'épisode du talus lui fut brièvement raconté puis une envie typiquement féminine et bien-sûr réciproque de se serrer dans les bras fut prononcée, et acceptée.
Le retour jusqu'au garage fut donc chaotique et cahoteux en raison en partie de la piètre qualité de la route.
Avec des pointes de vitesse frôlant les quarante-cinq kilomètres heure, les deux jeune se firent peur, d'autant plus qu'aucun n'était en mesure de rassurer l'autre...
Starsky et Pau arrivèrent sains et saufs au garage puis à la Brasserie, après néanmoins de longues pérégrinations pour trouver la Poste afin de se débarrasser des quelques lettres rescapées.
Ils tentèrent du mieux qu'ils purent de se remettre du choc, Pau semblait à fleur de peau, tandis que Simon était à bout de nerfs. Ils prirent le parti de décompresser en visitant le forum de jeux-vidéo.com destiné aux 15-18ans. Puis ils décidèrent qu'il était plus sage de rire de cette aventure, plutôt que d'en pleurer.
Simon vit Pau sortir du véhicule, le visage défait, mais le ton ferme : "File moi ton portable, j'ai raboté le talus". Simon s'exécuta, comme toujours face aux ordres d'une telle femme, puis Pau appela son père afin de le prévenir de la situation et de lui demander conseil. Comme elle s'y attendait, elle devait changer la roue.
Armée d'un cric et des bras de Simon, Pau entreprit de résoudre son problème. Hélas, même une fois les boulons enlevés, la roue ne bougeait pas d'un millimètre. Et ce, même lorsque le père de Starsky, appellé à la rescousse vint apporter son aide. Rien n'y fit.
Alors, en désespoir de cause, Simon proposa à Pau de se rendre chez lui afin de se remettre de ses émotions, de rappeler son père dans le but d'avoir de nouvelles directives, et de se laver les mains (que même la rosée matinale n'avaient pu purifier).
Son père ne répondant pas, Pau décida de contacter le garagiste chez qui elle devait déposer le Berlingot en vue de le vidanger.
La famille Starsky aidant, ils cherchèrent le nom du garagiste en question puisque Pau ne connaissait ni son nom, ni son adresse. Quelques recherches via internet et de nombreux appels plus tard, le garagiste (dont la femme ignorait qu'il l'était) se rendit sur les lieux du drame, changea la roue (à gros coups de marteau) puis évalua les dégâts. La direction en avait pris un coup, mais il décréta que les jeunes gens pouvaient se rendre sans dommages jusqu'au garage, s'ils ne roulaient pas vite. Il les escorta, leur montrant a route à suivre.
En cours de route, Simon, qui s'était transformé pour quelques minutes en secrétaire personnel en charge du portable de Pau, reçut un premier appel de la part de la mère de Pau, qui crut tout d'abord s'adresser à Alex. Simon n'a pourtant pas l'accent du sud ! Elle s'enquit de la santé de la voiture, embrassa sa fille puis raccrocha.
Quelques secondes plus tard, le téléphone sonna à nouveau. C'était Chlow' au bout du fil et elle ne sut même pas reconnaitre Simon ! Elle s'enquit de Pau, l'épisode du talus lui fut brièvement raconté puis une envie typiquement féminine et bien-sûr réciproque de se serrer dans les bras fut prononcée, et acceptée.
Le retour jusqu'au garage fut donc chaotique et cahoteux en raison en partie de la piètre qualité de la route.
Avec des pointes de vitesse frôlant les quarante-cinq kilomètres heure, les deux jeune se firent peur, d'autant plus qu'aucun n'était en mesure de rassurer l'autre...
Starsky et Pau arrivèrent sains et saufs au garage puis à la Brasserie, après néanmoins de longues pérégrinations pour trouver la Poste afin de se débarrasser des quelques lettres rescapées.
Ils tentèrent du mieux qu'ils purent de se remettre du choc, Pau semblait à fleur de peau, tandis que Simon était à bout de nerfs. Ils prirent le parti de décompresser en visitant le forum de jeux-vidéo.com destiné aux 15-18ans. Puis ils décidèrent qu'il était plus sage de rire de cette aventure, plutôt que d'en pleurer.
C'est ainsi que naquit
La légende du Brise-Talus.
2 commentaires:
MA-GNI-FIQUE
^^
une anecdote que je chérirai jusqu'à la fin de mes jours XD
C'est tout simplement à mourir de rire
J'ai éclaté devant "Putain c'est quoi ce chanteur de merde", j'avais l'impression de t'entendre !
Je ris mais ça a pas dû être drôle sur le coup... Je crois personnellement que j'aurais paniqué ^^
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